Ainsi, les écoles de demain seront toutes des écoles libres en contrat avec l'état. Ne seront enseignées dans ces écoles que les matières fondamentales (français, latin, grec, math, physique, biolo, chimie, économie, philosophie, morale). Le reste de l'enseignement sera décentralisé, externalisé dans les entreprises, les associations, les centres de recherches, les monuments historiques, les réserves naturelles, ect... Le sport décentralisé dans les associations sportives rassemblera des enfants, des ado et des jeunes adultes venant de tout milieux , de toutes classes et avec diverses confessionalterités (handicapés et vieux compris). La mixité, le multiculturalisme, le cosmopolitisme, le mélange des genres et des couleurs pouront, en ces associations, s'établir. Ces associations seront des « medias »  et des outils de socialité, d'entreprise et d'initiative. C'est sur le terrain du sport (et il y en a d'autres) que pourra se dénouer la « crise française », rancœur des 25 dernières années, que les enfants (via les exemples minables et puants que leur offre le monde politico-artistico-mediatico-parisiano franco-francais) ont intégrés, et parfois malgré eux. La musique et les arts plastiques pourront être externalisés ailleurs. Les langues seront enfin enseignées de manière vivante, et les résidents étrangers inscrits sur le territoire national nous seront d'un grand secours face à la mulasserie généralisée des profs de langues de l'éducation nationale. Et bien sur, nombre de disciplines seront directement enseignées en entreprise. (Ou tout du moins que cette liberté de choix soit inscrite dans nos lois et que plus jamais cette bande de nulasses et de gros tas de merde de l'éducation nationale ne se permettent d'acheminer les jeunes générations où seul bon leur semble. Nous pensons que des « tours » de France ou d'Europe seront mis en place. Sur le modèle du compagnognage ou du parcours initiatique. Nous pensons que ces « tours », d'école alternative en école alternative, seront une solution particulièrement efficace pour les élèves en difficulté ou ayant déjà un passé de délinquant, et qui se font chier grave dans les classes de cette bande de nulasse et de vieux cons, cela c'est admis par tous, je crois. Pourquoi ne pas envisager ces « tours » (contrairement aux conneries annoncées par Ségolène Royale, 1^er Nulasse de France) comme des services civils et citoyens. Les individus pourraient y être formés à un métier, mais aussi, pourraient y racheter les fautes qu'ils ont commises. Les ONG pourrait être associées pour ouvrir ces « tours civils » à l'écologie et à l'aide aux personnes. Et si nous imaginions une CEE où les travailleurs étrangers (à qui on reproche de prendre le travail des autochtones, plombier polonais, par ex) qui seraient admis comme main d'œuvre, et dans chaque pays de la zone, serait la partie de population de chaque pays qu'il faut rééduquer, réinsérer, soigner (Ddass, prison, centre pour mineurs difficiles). Une sorte de bagne, mais généreux et humain. En fin de tour, un diplôme ou un chef d'œuvre ou un passé racheté, la possibilité d'accéder à l'administration ou bien d'obtenir une bourse pour s'installer travailleur indépendant après avoir mûrie son projet. Elles pourraient être belles les écoles de demain, plus douce et plus forte à la fois. Plus savantes et moins lessivantes. Je rigole. Et les prisons, les asiles et les ghettos plus efficaces et plus matières propres à faire germer des soifs de vivre et des désirs de réagir, de dépasser et d'entreprendre. Et, financièrement, je ne vous dis même pas. C'est la simplicité, et c'est bien sur l'évidence, il n'est que les vieux cons et les nulasses qui ne l'admettent  pas.  Ne trouvez vous pas qu'il y a un gâchis à toujours enfermer davantage les enfants dans des écoles sans singularité et qui les font dégueuler ou frapper ou casser ? Ne trouvez vous pas qu'il y a un gâchis à toujours enfermé davantage dans les prisons, les asiles et les ghettos pour conserver nos pouvoirs et autorités, nos modes de penser et d'agir, qui somme toute, sont d'un autre temps et incapable de nous faire affronter les enjeux de cette époque ? Pouvez vous imaginez à quel point je vous dégueule ? Et si c'était dans cette vision d'une nouvelle école que tout un peuple et toute une Europe pouvait se retrouver, s'accepter, se respecter et enfin s'unir pour construire un vivre ensemble qui ne mettrait pas à mal l'autre, individu, identité, éco système, d'ici et d'ailleurs ? Pouvez vous imaginez à quel point je vous dégueule ? Allons nous abandonner les jeunes générations à des structures scolaires, administratives, institutionnels et des logiques franco françaises qui en feront des  surendettés et un peuple d'opprimés demain ? Allons nous toujours davantage laissez crever en prison et en asile pour assurer nos minables prétentions sur les territoires et les consciences ? Ne pouvons nous pas proposer aux gosses des Ddass au chose qu'un transvasage de mouroir à mouroir ? Pouvez vous imaginez à quel point je vous dégueule ? Il faudra bien le vouloir. Ensemble. Loin des divisions ridicules que nous dictent toutes ces ridicules de ministères et d'institutions. Il est urgent de comprendre que nous fonctionnons, et plus particulièrement nous, français, sur des idéologies, des structures, des grilles d'analyses ringardes, primaires, d'une autre époque. Nous devons en être convaincu. Nous en sommes à la préhistoire de notre histoire. C'est, aujourd'hui, tout un peuple, et tout un pays, rassemblé, retrouvé sur l'essentiel, qui doit prendre en charge, à bras le corps, dans l'expérience et les savoir faire de terrains, l'éducation, la formation professionnelle et la santé de chacun. Il est cela notre chemin vers un mieux vivre ensemble. Elle est là la révolution. Les horizons pluriels et partagés. Un projet commun. Finissons de ces fascismes d'Ancien Régime : professeurs et médecins. Proposons un nouveau modèle, un choix français, dans chaque main un outil, à chaque pays un destin, à chaque homme et femme le rêve qui s'encre enfin de changer, demain.