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    ("Tout argent non investi en connerie ira alimenter, naturellement, de saines économies." Ian-Lou 1er, Vision sur la montagne). Prenez une ville moyenne. Toulouse, par exemple. Engagez vous sur la rocade, d'un coté. Vous tomberez, à moment, sur une Cité de l'Espace, qui à l'avantage d'être vue par tous les passants en grande vitesse. Mais où personne s'arrète, d'occasion ou bien de resolution. Tout le monde s'en fou, et cela coûte. Mais c'est un mégalithe dedié à la science et de 20 metres, et cela fleure bon le marketing à elections. Maintenant allez de l'autre, coté, sur la même rocade à vocation perfiphérique. Vous y trouverez bientôt, bien place, aux yeux de tous, quoi qu'il faudrait les definir, les tous, je veux dire, une Fondation Anti Cancereuse. C'est de cancer franco français qu'il faudrait dire. La Mausolite chronique electorale à deficit integrée. Cela sert bien des malades. Et surtout de ceux qui sont de passage dans nos villes que le temps d'un week end. Le temps d'une photo, d'une interviewve, d'un coupage de ruban à haute teneur ajoutesque en trajectoire franco française, en posage de première pierre à vous hurlater l'evidence qu'un outil pour eux c'est l'inutilité même. Un temple, ici, dedié à l'Art made in Maire. Un autre, là, dedié au Sport made in Grand Cretin en ça. Tiens, un projet. C'est sur, le politique s'y voit dedans. C'est pas le peuple, c'est pas le bien commun, c'est pas le vivre ensemble qui est l'important. C'est à vous en degoputer. C'est à en degueuler. Mais faut en rien le dire. Il est de bon ton de ne pas le dire. Le tous pourris est de mauvais goût. C'est que pauvres gens ont peu de vocabulaire. Il aurait mieux vallu qui leur en soit donné pour qu'ils les definissent et les jugent avec d'autres accents. Tiens, là voilà. Elle arrive. Notre éternelle Ministre de la Santé et Maire 1er et decentralisé à Paris. Il arrive, quelle verve,oui, bien, quel elan, va y, t'es beau, encore, refais nous le, le peuple ne s'en lasse pas. Il en serre bien 45 à la minute. Et les sourires et les discours.Qu'il était beau le fauteuil où tu jasais, Douste, cheminée derrière, de pierre, ma chère, c'est les tienne ? Franchement, elle est bonne notre Douste. Je l'aime, j'en suis fière, je suis un toulousain. Elle a fière allure et humaniste de surcroit. Il paraît qu'elle en est. D'origine culturelle Emmaüsienne. Je l'ai vu à la télé locale. Elle le disait. Elle en usait. Elle en abusait notre trés chère Douste. Elle vient même de Lourdes. Un parachutage de bonnes intentions. Lourdes, la laide. Dépotoir des communions des fétichistes des évêchés. C'est une Mecques, bien de chez nous. Il n'y a que la monnaie qui change. Mais, je me tais. Je ne voudrais pas trop froisser. Ici ou là. Caïn caha. Elle se la construit sa legende à coups de nos milions. Elle aura droit au livre d'histoire, c'est sa première mission. Première raison. Insupportable. Retenez moi, je me lache. Je lacherais bien plutôt les chiens. Mais, j'en ai pas. Je lache mes glaires. Je lache mes rôts. J'envoie ma pisse au cul de notre premier salaud. Et vous ? Vous en avez, vous aussi, sur vos campagnes, vos villages, vos villes, de ces genres ? On ne s'en lasse pas, n'es ce pas ? Voyez les sondages. Ils sont à leurs combles, à leurs aises. Qu'il est beau. Voyez sa tête de Haute Gourde. On y veut s'y abreuver. Tiens, voilà l'autre. Le Maire. Celui qui a été elu, je veux dire. Celui en place et au travail. Il est obligé de jouer les figurantes. La debilote locale. De terroir. La fiote instrumentalétatetisée de service. Dur, dur, d'être un libéral. Il assure l'entrée en Histoire de notre Douste. L'histoire avec un grand H. Pas un p comme peuple. Un H aspiré, convenu, pas inspiré. Un peuple à nouveau enfilé. Je me demande si de telles architectures, feront ratrapper les 25 ans années de retard qu'à prit le pays en matière d'enseignement et de recherche. Mais ne le disons surtout pas. Nous n'en savons rien. Cela n'est pas notre rôle. Les professeurs et les medecins ont parlés. Les avocats suivent. Ils s'appretent. Il y en a beaucoup en nos époques.Un travello m'a même dit qu'ils aiment se faire lecher le cul quand il est bien sale. Mais je n'ai pas constater les faits de moi même. Il y en a beaucoup en nos époques. C'est que le peuple est désherités, mais qu'il y a de l'argent. Cela n'a pas la vertu d'assouplir le système les procedures. Mais bon, il en faut pour garder son rang. La France, on s'en fout. L'enfance et l'avenir sont bien trop ennuyeuse. Faudrait reflechir et exprimer des faits. Et là, cela coince. Notre faune politique est coincée. Par qui, pourquoi, jusqu'à, quelle heure et vers où ? Nous n'en savons rien. C'est la France. Doux pays aux faciales purinales. C'est à vomir, nous le savons. Et nous degueulerons. Si si si, Douste. Nous degueulerons à ta santé, ma chérie. Enfin, bientôt le temps venu des elections. Et c'est ensemble, unie à ta santé, que ta population te renverra l'addition. Faisons réelire Moudenc, mes frères. Entendons nous. Une leçon. Et partout comme cela en France. Un grand partage, pour un projet partagé d'envoyer en partance générale. Entendons nous, mes frères. Quelques pussent avoir été nos divisions passées. Juste une leçon. Radicale. Juste pour voir l'effet que cela fait sur leurs Hautes Gueules. Et puis, le notre, je parle à vous frères toulousains, nous pourrions l'envoyer finir carrière au Kosovo. Faisons lui avaler les couilles à Kouchner pour la dernière photo. L'Histoire fera le reste.


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