• ...

    Je pensais pourtant qu'elle était crevée depuis longtemps. La Charasse. Elle, aussi, conseillère d'un 7 ans de rien foutre. D'outre passage des morales. De dépassage des budgets. D'embourbement. D'évasion. De reculade. Entre enculement. Je pensais pourtant qu'elle était crevée depuis longtemps. La Charasse. Et elle nous dit qu'elle soutient la Fabius. C'est nous dire vraiment l'état de ses portefeuilles. Portes ouvertes qui aspirent nos millions. Somme de nos pauvres valeurs : travail, humilité, acharnement. Et elle nous la montre toujours : sa sale gueule. Faut qu'elle nous la joue de haut. Faut toujours qu'elle nous gronde, la grosse. Heu, pardon, la conne. Faut qu'elle le tourne et le mousse, son cigare. Faut qu'elle ejacspot pour un jackpot.  Il est comme cela d'un bout de la droite et jusqu'à l'autre rive. Faut qu'il, elle et les autres nous fasse sentir leurs culs. C'est pourtant d'autres regards que le peuple à envi-eux. C'est pourtant vers d'autres gueules que nous portons tous les jours nos mots. Mais rien y fait, la France n'en finit plus de ces vestiges d'un vieux style. Mitterrandien, Empire, Parisanien, Techocrotine, Abusemencinien, Elus du peuple sans surprise. C'est pourtant juste de cela que le peuple espère. Un renouveau. Pas de vieux et fiscalement jouissifs zos. Un mouvement. Pas la vague continue réelective de nos monnaies à leurs détournements. Je pensais pourtant qu'elle était crevée depuis longtemps. La Charasse. Mais roue tourne point. Il n'est jamais de supplice. Toujours un peu moins d'âme, toujours plus de gros groins. Toujours moins de cœurs, toujours plus d'infortune. Toujours moins de reconnaissance, toujours plus de centralement des sous. Le dialogue, l'ouverture, je n'en parle pas, ils s'en foutent. C'est juste de gros cons coincés entre 4 murs, et qui puent, mais qui dirigent. Et sa pisse à nos culs, et ça veut qu'on les réélisent.  Point d'admission de nos colères, de nos souffrances, il n'est plus que de faux mots. C'est pourtant la France qui travaille et qui chante : crève, la Charasse. Crève. C'est sur le peuple (souverain) que tu crachais, de tes Hauts. Crève, la Charasse. Crève. Qu'on t'oublie vivement et que s'elève nos maux.


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :