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    Le magazine « Les français d'abord », cite souvent un journal, je crois que c'est « Aujourd'hui », mais je peux me tromper, pour son independance. N'y aurait t-il pas la possibilité qu'un journal comme « Aujourd'hui », ou bien un autre, ose ouvertement proposer un nombre x de colonnes à « Les français d'abord », et même national hebdo », c'est à dire au FN ? Voyez vous l'enjeu ? Ne voyez vous pas ce que nous aurions tous à gagner d'une entente cordiale dans l'attente et la construction d'une société plus libre et juste et solidaire ? Cela, je le propose, toujours, dans une logique de redynamisation, d'education populaire, d'elevation du niveau des âmes, des cœurs et des consciences, et je sens bien, là, que vous pouvez bondir, hurler, au fascisme, au nazzisme néo, latent, sous jacent, envahissant, rempant, que sais je encore. Mais comprenez, encore une fois, que tout à un lien avec tout et qu'il n'est qu'ensemble que nous parviendrons à resoudre les problèmes et les malheurs qui peuplent notre terre. Même si ses idées de haine, parfois, derangent, il faut les integrer, avec nos esperance de les resorber par un travail de terrain, par des retrouvailles sur le terrain, je veux dire, dans la somme de nos espois et de nos forces à resoudre ça et là, en prenant les problemes les uns après les autres, avec tous nos regards, nos savoir faire, melting pot d'un demain possible. Il est de notre devoir de ne pas laisser recuperer les êtres en colères, ces petites entreprises en perditions par un Sarkozy ou bien une Royal. Les politiques recupèrent là, aussi, sur ce terrain de l'extreme, et sur le flan gauche extreme de nos conviction n'en va t-il pas de même ? Tout à un lien avec tout. Il n'est qu'ensemble que nous refermerons les plaies. Il n'est que là le chemin possible. Ces gens dans haut, et de tout bord, ce sont trop compromis à leurs soifs insasiables de toujours plus jouir de nos identités, nos philosophies, nos travails, nos entreprises, nos associations, nos ecoles, nos vies, nos amours, nos pleurs et nos colères. C'est simplement une strategie economique où nous pouvons nous retrouver, pas la grande revolution, mais la lente resorption des chancres de cette nation, et ce qu'ils genèrent comme desespoir et laissez pour compte, ou pour con, ou pour incapable à penser, ou pour mort quand bien même ils sont toujours vivants. Tout à un lien avec tout. Il est de notre responsabilité citoyenne de le comprendre, enfin, de l'admettre et de le poser comme debut de solution. Prenez la vie politique française, d'un extreme à gauche. Et voyez. Il y a une distance entre l'extreme droite et l'extreme gauche. Nommons la X. Prenez la presse française. Il y a une distance, là aussi, entre les presses representatives d'unextreme, à l'autre. Et c'est même plus une distance en ligne droite, c'est un volume, une imbrication de lien, de connexion possible, si tenter que nous posions un temps les armes et que nous nous acheminions vers l'autre à vol d'oiseau. Et cette presse, ces philosophies, ces cultures, sont terrain théorifiable pour nous assurer un destin heureux. Mais laissons cela. Simplifions. D'un bout à l'autre de la presse, une distance, là, aussi. Nommons là Y. Et maintenant, reduisons Y (dynamique economique alternative en devenance), et c'est X qui se reduit, aussi. Et X se reduisant, s'harmonisant par nos efforts consentis, c'est les distancs entre les hommes et les communautés qui se reduisent, c'est la Republique qui se consolide, c'est la Democratie qui renait, c'est la croissance, enfin, pour notre pays, et une croissance plus humaine, libérée des carcans, des modes anciens, oui, une renaissance. C'est un tissu sociale qui naît, c'est une fracture enfin qui se reduit, c'est nos paupières qui se degonfflent après que nous ayons tant pleurés. Enfin dialogue.        Ne voyez vous pas là, enfin, une democratie participative naissante, et libérée des jougs que certains, déjà, posent, pour s'assurer une place dans nos histoires, et déjà, dans leurs desirs vouloir nous aliéner, là où ils parent de nous liberer. Se prendre en charge toujours, quand il est question de nos vies, de nos enfances, de nos construires. Libérer et laisser toujours libre la capacité réinitiée de nous parler et d'avancer ensemble. Leur laisser toujours quelques années de lumières à rattraper. Dans le même esprit. Je crois qu'un quotidien se casse la gueule en se moment. Peut-être ne paraît t-il plus, déjà, je ne sais. Il s'était abbaissé, en dernier temps, à faire œuvre de journa-réalité à phocratie crasseuse et bien juteuse en pognon à combler l'incapacité de ses journalistes au reflechir et au batir ensemble. France Soir, je crois, mais peut-être je me trompe. Et d'un autre coté, je recois en ma boite au lettre des bulletins et des magazines de mairie, de canton, departement, region, conseil en j'en sais plus rien tellement ces papiers pûs la combine etaller et relifter en arme de guerre. Tellement ils sont markétés pouvoir locaux -petit petit petit petit viens viens petit petit petit- en place. Il est des feuilles, aussi, libres ajoutées. Combien cela coûte tout cela. Combien cela nous coûte en impots ? Et pour ceux qui n'en paye pas, combien cela vous coûte que l'on ne vous ecoute pas ? Au nom de quoi devrions nous recevoir dans nos boites aux lettres, sans en avoir fait commandes, achats, demandes ne serait ce que soupirés, ces journaux qui ne se disent pas, et de notre Republique et de notre Democratie.  Un juriste pourrait-il me dire du reste si tout cela est constitutionnel ? Toutes ces choses sont-elles autre chose qu'une atteinte à la pluralité, autre chose qu'une injonction à conservativiser les pouvoirs en place, autre chose que des rouages à la scleroses de nos economies philosophiques ? Tout cela participe à la ghettoïsation de notre pays et de ses parties constituantes. Je parle du peuple souverain. Non plus Juge, mais même plus maitre de son corps et de son esprit pour juger. Il faudrait que juriste s'y penche. Je vois en ma ville. D'un bout à l'autre du mois, je bouffe du Malvy, matin, midi et soir. Et vous en Iles de France, c'est du Huchon que vous soupez jusqu'au cœur de vos nuitts, m'a t-on dit. La paperasse, ils aiment cela. L'education, ils s'en foutent. Ils ont beau nous la proposer à toutes les sauces, ils s'en foutent. L'avenir des enfants, ils s'en foutent. Seule est raison leurs carrières, la place qu'ils ont travailler de dedans nos dictionnaires de 50 ans plus tard. Le peuple, ils s'en foutent. Ou bien, ils sont desesperements cons. Et toutes ces parutions, que nous pourrions organiser ensemble, et que nous pourrions faire vivre et voler, bien au delà de nos frontières, nos errances, ou bien nos seuls ivre, elles ne sont que nos RMIC à nous tous, et qui que nous soyons. Ration minimale d'insertion collectice. Bref. Excusez moi. J'allais m'egarer encore. Je suis comme cela. J'aime les fleurs. J'aime les ivres. Et quand, j'ouvre ces bulletins... Un grand quotidien ou ex grand du soir, ne pourrait-il pas tisser liens directement avec partis politiques, et ouvrir à son journal des colones, pour tous les partis, et cela même aussi qui ne sont jamais representé et de tout bords. Voyez vous comment tout à un lien avec tout, et comment notre entente cordiale est le seule chemin possible pour que nos vies s'ameliorent, et quelque soient nos conditions et constitutions d'origines ? Voyez vous comment il faut s'entendre, acepter la Democratie radicale, echapper à nos seules visions, ou simplement, le plus souvent, œillères markétés prizunic, je veux parler de la pensée unique : vote ! Pour moi ! En place depuis.. ! Bref. Prenez la Dépèche du Midi. Il y a des sous division toulouse, auch, montauban, ect. N'est ce pas une base pour un redeploiement de la Democratie ? Et via les sites Internet de ces presses, n'y a t-il pas l'occasion de faire lien, de faire corps plus en racine, avec les associations qui serait repertoriés (avec label qualité ), les cultes de tout bord (avec label modérés), et tout cela avec le concours des Armées (comme je les definies) pour solidifier, redynamiser, ect. L'entreprise peut-être belle si son projet est, aussi, notre, tous, entier, corps des horizons, rassemblés, ouvrieux, malheureux aussi, enfin, participant quand bien même leurs pauvres galons, leurs pauvres habits, leurs pauvres figures, traces des années que nous avons perdues en ces guerres terribles, steriles et folles. Il est urgent.

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