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    Un groupe (d'individu) a été victime d'un salarié malhonnête de type AXA. Ils étaient dans une mauvaise passe, une certaine fragilité, à un moment de leurs vies où ils étaient plus facile pour le salarié malhonnête, de type AXA, de les abuser. Et l'on entend à la télévision, le directeur communication d'AXA « France », le bon messieurs Loyal de service, déclarait qu'AXA « France » porte plainte devant les tribunaux contre son salarié malhonnête. Eux, les abusés, le bas peuple, la bonne manne consomateuse de base, attendront, des années, sûrement avant d'avoir gain de cause. C'est écrit. A quel point la communication est tombée entre les mains de bas chiens. N'aurait-t-il pas été un minimum signe de respect, de savoir vivre et d'humanité de la part d'AXA « France » que d'indemniser en premier temps ces pauvres gens abusés, et de se retourner, ensuite, vers la Justice, si on peut appeler cela une Justice, je parlerais davantage de confrérie de bas porcs, mais je peut me tromper, se retourner vers la Justice, donc, pour remboursement des avances sur dédommagement qu'elle aurait effectué ? Mais non. Ces gens se foutent de leurs clients. Ces gens se foutent de l'humain. Ces gens se foutent de notre devenir commun, et pour cause. Directeurs Com, DRH, tous les mêmes, des chiens, au service de bas porcs. Combien dit t-on ? 1 million d'euros ? N'est ce pas, pour le groupe AXA, une goutte d'eau dans un océan sans fond et putride ? Et c'est là, que j'engage les hommes à la réflexion, à la méditation et à l'union. C'est, là, que j'en appelle à notre responsabilité, à notre sens du devoir de citoyen civil, moderne, moral ou éthique, comme vous voudrez, à notre droit d'être toujours des acteur moteur de civilisation, à ne pas sombrer dans le lâche et facile, et si plus valutesque pour eux, désintéressement de la cause d'autrui ou au questionnement sur la Cité. Ces pauvres gens abusés, par un salarié malhonnête, seulement (le salarié) d'une moralité, en somme, d'un échelon supérieur, communément admis et délivré en loi de marché, sur l'échelle Axa thermomètre du bon goût commercial, par un salarié rompu à la cause, aux manières, us, coutumes, culture d'entreprise de type AXA, ces pauvres gens abusés, dis je, c'est nous déjà. Nous, fragiles possible d'un moment de la vie, malades malheureux et pour longtemps, vieux obligés avec de plus en plus de chance, accidentés, il est possible aussi, enfants d'hier et de demain, en somme. Et cette très chère Madame de Parisot, sur ses jambes, elles sont laides, mais là n'est pas le problème, cette Parisot d'un syndicat patronal pas plus représentatif des patrons que la CGT ne l'est du monde ouvrier, mais qui fait baver par ses façades comme peut faire bander de nos jours la le Rmi, le fonctionnariat, ou le chômage à mi temps. J'en suis venu, ici, voyez, à mal construire ma phrase, c'est le signe des temps d'un pays, assurément. Mme Parisot, donc, s'empresse à nous vouloir flexible, accompagner toute vie de travail durant, vite, vite, reformons. Et si vous commenciez par reformer vos sales dedans, d'entre vos entrepricopinerie, Madame de Parisot ? Et si vous nettoyiez un peu vos couches, vos nids, vos portefeuilles, vos culs, tes queues, Madame Parisot ? Vous ai-je dis, déjà, à quel point vous me faites dégueuler ? Vous si moderne, jusqu'à en oublier commune racine humaine. Combien d'années de procédures devant les tribunaux pour ces gens inscrit dans un dossier, Mme Parisot, à vue de nez ? Il est laid votre nez, mais c'est déjà bien, c'est le votre. C'est la que j'engage les hommes. Il est un devoir de faire pression, aujourd'hui. Quelques soient nos philosophies, nos ailleurs, nos hiers, il est urgent de s'entendre sur un minimum de demain possible. Ou bien baisons tout de suite nos gosses. Et achevons les. Congélateur. Cela viendra pour tous, vous verrez, c'est écrit. Tout à un lien avec tout. Nous ne pourrons pas davantage avancer séparément, contradictoirement, plus longtemps. C'est du donnant donnant qu'il faut. Nous avons tous à y gagner. Remettre partout un minimum de morale, ou bien si vous préférez, d'humanité laïque, ou carrément athée. C'est au choix, et ce n'est pas cela le plus important. Faisons pression. Lançons, de nous même, une proposition de rachat de nos contrat AXA par une ou plusieurs compagnies d'assurance qui auront signés un accord de Label équitable et éthiques, bref, non pédophile. Et puis, rêvons, AXA, c'est la Suisse. Et la Suisse, c'est bien connu, c'est le pétrole. Nous pourrions freiner un peu les désirs d'avoir de notre Pébereau nationale. Pébereau, actionnaire privilégié d'un état de non droit généralisé et pédophilique. Pébereau, pédophile peut-être lui-même. Pédophile tout court. Oui. PD grave et sale, sûrement. Il est un devoir de le crier. Pébereau, plaie de la Nation, pétroleuse fascisto pédophile, donc, au large et profond cul emplis de comptes Suisse. Très certaine ami de 20 ans d'un quelconque autre sale con à baiser, exploser et achever, lui aussi, finalement.  Et cette Suisse, belle et douce. L'ultra démocratique, l'ultra participative, l'ultra propre, et à quel prix ? Notre mort lente à tous. Faudra bien balayer, un jour, devant nos portes. Faudra bien mettre un peu le feu au lac. Faudra bien comprendre que nous aurions à gagner millions d'emploi en Europe, et quand bien même nous accueillerions la Pologne, la Roumanie et même la Bulgarie extrême orientale, mais dans notre engagement à jouer, tous, qui que nous soyons, le jeu, un minimum, de l'économie, de la morale et de la cohésion de la Nation. Je veux dire par là que toutes ces ilettes, micro état et jusqu'à la belle Suisse n'ont rien à foutre dans la communauté de nos Nations. Elles ne sont rien d'autres, en l'état de non droit qu'elles organisent, qu'elles affichent, qu'elles ventent, par lesquelles elles attirent toujours davantage,  qu'un moteur de pédophilisation, de fascisme, et de destruction. Rien d'autre que cela. Une bombe à retardement. Amis Suisses, de tous pays, de toutes natures, vous ai-je dis, déjà, à quel point je vous dégueule ? Il est urgent.


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