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    Je ne pense pas qu'il soit bon qu'Internet devienne un lieu d'achat de produits financiers en ligne. Internet est avant tout un outil. Il est possible que nous ayons à intégrer, pendant un temps, certaines transactions sur le Net, mais cela doit rester dans le cadre d'une logique et d'une stratégie de déconstruction reconstruction qui nous conduise à une situation idéale à un terme temps X. Après avoir concentré dans les pays riches l'essentiel de l'activité économique, dans les villes les populations, dans les hôpitaux les pontes à pognons pour une médecine de lutte des classes, dans les asiles nos défécations, dans les écoles les savoirs et les apprentissages, dans les administrations les kystes du mouvement, dans les ghettos notre bassesse, dans les prisons nos déchets usagers après les avoir vidés, dans les musées l'art avant de les concentrés dans nos coffres, sur les paradis fiscaux nos propensions au facile et au laid, dans les déserts de ruines, de sables ou de campagnes la somme de nos puanteurs, et cela au nom de notre vouloir mieux faire toujours et toujours plus par nous seuls, nous, noyaux durs de pouvoir et de prérogatives, et jusqu'au détriment de la créativité, de l'innovation, de l'initiative, des équilibres du vivant, bref, jusqu'à la négation même de nos valeurs, n'allons pas cloisonner en leurs habitats ou leurs tentes de survie de fortune les hommes par dieu Internet et au profit de notre abominhominidéicité. Il y aura, si œuvre de civilisation nous sommes capables de faire un jour, un Internet privé, d'individu, d'identité ou de famille, et un Internet public, d'entreprise ou de communauté. Il faudra marquer et réintroduire, en nos lieux de vivance, l'interriorité et l'exteriorité. Il est urgence. Cela ne serait rien d'autre qu'une ration de déshumanisation supplémentaire, et nous avons éducation, formation et management adapté en ce sens et à nos raisons pour faire pire, s'il nous n'en décidions pas ainsi. L'idéal serait la réorganisation et le réaménagement du territoire dans le sens d'une liberté de pouvoir vivre de son travail partout, mais point isolé. Choisir, en quelque sorte, son espace économique et sa voûte d'horizon. Pour Internet, l'idéal serait l'accès à l'administration  de partout que l'on soit, mais pas isolé, inclure cet accès en des point entreprise. L'idéal serait un reliement de toutes les entreprises et par accès (badges, clefs, codes, ect...) privé, intro entreprise, et relatif à fonction, échelons, d'une part, et un accès public de type syndicalité post moderne, d'autre part, et, un Internet cimentaison du tout, participalité aux questions de la cité, et en tout point. Internet n'a pas vocation, s'il veut être d'humanescence dynamique, de devenir lieu de partage sans frontière, et sans repère, et sans morale, dans l'aveuglement des jeux du loisir ou du marché. Il faut encrer Internet. Dans la terre des lois, des pays, des peuples. Il faudra bien sortir de nos morts. L'idéal serait Internet bibliothèque des mondes et journalismes du monde, des mondes entier. Dans le respect de tous. Je veux dire en prenant compte de la dimension élémentaire et nécessaire de notre solitude.  Nous en sommes rendu à un temps de communication et de rapports humains mortifères, putrides. Le langage en est rendu aux sales gueux à diplôme de type HEC. Internet, je te vois moment de lecture, peut-être, tu devra être moment de recherche, d'ecoute, de regard, dans le silence et le seul, moment de ratachement à l'environementalité de courte ou bien vaste distance, mais devenir acteur de solitude, de réenchantement du monde, d'ouverture à la méditation, à la philosophie, au reflechir un peu seul, à la re spiritualisation religieuse ou laïque de nso mondes. Je pense depuis longtemps que cinema est mort en devenant parlant, et que television n'a fait que tirer davantage l'humanité vers le bas. Il n'est que les voir pour comprendre, et vomir. Ils sont laids, et pourtant nous trompent, nous abusent, et en veulent toujours plus, jouirs devant nous, des laiderons putrides en somme. La television disparaitra, et le cinema disparetra, et ils faudra les aider à vider leurs glaires et pues. C'est dans l'art en premier que devra être réintroduit les technologies et l'art du feu cinema et du feu télé, comme c'est déjà le cas avec les arts plastiques, et cela devra s'accompagner dans les arts vivants, de rue, cinéma de plein air qui seront télévision d'art collectives. Les ecrans plats seront bientôt supports publicitaires en quelques endroits, et après lente et necessaire regression par harmonisation et redynamiquage des paneaux blaireau arnaco poluant gavant et debile. Ces ecrans plats dans nos villes seront acceuilleront les informations et la preventions des Armées. Tout le bourage de crane et de cul de type information politique locale devra disparaître. Ces gens nous ont suffisament gavés, leurs temps est passé. Ils sont d'un autre siècle. Les technologies doivent desormmais servir de part leur potentialité civilisante, et non plus fascisante, messieurs les gaveurs chroniques. Faire œuvre de civilisation, nous, grands patrons, humbles et courageux, passe par notre en route dans ce mouvement, l'accompagner, le stratégiciteliser, le precipiter en champs d'horizons pluriels. C'est notre seul chemin possible de survivence et de renaissance de nos valeurs. Seul chemin de liberté. Compagnons, camarades, amis, frères et sœurs, nous sommes morts. Il est urgent, c'est l'heure, cela sonne, j'en meurs de ne pas l'avoir compris, il est question de survie, de génération et d'enfance en devenance, d'ecosystèmes relevés de nos systèmes de vieux et vieilles races trop peureuses. Bien sur. Il en restera, ça et là. Merde, depuis la nuit des temps, a vie dure.

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