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    Regarde le secteur de la vente des fournitures d'Arts Plastiques. Regarde et souviens toi de ta vie et de ta ville. Il y avait, autrefois, plein de petites boutiques qui nous proposaient de la peinture et des crayons de couleur. Et voilà que « Les couleurs du temps » sont arrivées. Des couleurs. Tu parles, Charles. Cela à commencer par la gouache, si ma mémoire est bonne. Mais, je te le dis, en passant. C'est un peu comme le passage de la plume et de l'encrier au stylo Bic. Il n'y a plus de buvard, de nos jours. Mais que les gosses font des fautes. Moi, mon petit, tiens, le dernier, rien que pour lui j'ai pris à mon service un ortographo thérapeute. Par peur qu'il coule mon entreprise, je veux dire. Bref. Les couleurs du temps. Quartier St Georges. Centre commercial du même nom, je veux dire. Il y eu l'apogée et le declin. Et dessus, sur la dale, sont arrivés les degradations, les delits et incivilités. Et nous ne voulions plus, nous, riches, y habiter. As tu remarqué combien ces enseignes de chaine en tout genre precipitent des quartiers vers des destins ? C'est qu'elles sont attachées à une logique économique d'agrandissement, d'elargissement, d'étentation spaciale. Souviens toi. Il y avait là aussi un « Habitat ». Et puis la concurrence, le marché, la course folle, l'air du temps. Gagner des parts de marché par l'accroissement de la productivité des industries agro alimentaires de mise en merde. Là, pas de vache maigre, pas de mise en jachère. Il y a longtemps, déjà. Et une autre est arrivée : Créa. Boutiques de papier, peinture, crayon joli, cartable en carton, petit foulard et madras envolés. Créa. Et la gouache est devenu eau en bouteille plastique. Nous avions pourtant mille aquarelle, et atomic baton à carbone. Rien que du feu et des éclats. Et après, te souviens tu, et cela accompagné le triste destin de notre pays, mort du petit commerce, de l'artisanat, de l'eau, des terres, de l'industrie d'ici, c'est comme cela qu'ils avancent, et pourissement des Cités, telles des abandhomnes, montée des cités dortoir, urbanistic logic à jicle, là même où des Mairies s'accrochaient dans de Grand Social Investiture Project, la montée en puissance des pompes à merde aspirante, centre de la détention du goût par Carrefour, Auchan, Leclerc, moteurs energetiques de notre pays, putrides et puants, delocalisatureux, deculturationneur, désindustrialissantes, fragmentismales, polueuses jusqu'aux bouches de nos enfants, famille Mulliez, gaveuse de consomateur-bouche d'égouts au main d'un vieux rat qui était mort déjà dans l'ébauche de son premier projet. Et ils nous sortent la petite dernière, toujours plus. C'est la Conne Cultura, somme des incapacités à rever de ces gueux, piège nouveau tendu par le fascisme des Grands Laids, pour asservir, manœuvrer, desoeuvrer, desesperer, centrale d'achat d'un nouveau culte, le chechef d'atelier d'épanouissement, ou bien l'artiste, pauvre, entre les mains du roi profit, pour que jaillisse et jicle une fiote de cirque, Stark ou un autre, tarte salée des sans farines. Bouche à cul. Lèvre à vomir. Et le boucle bouclée et l'art devient prison. Philosophie, fade façade marquées  « repères », « igloo », « mousquetaire ». Nos Artistes et nos Capitaines sont mortes. Il n'est plus que terrain des fruits usuriers et du laid. C'est le melting pot des Grand Pèdés. Il n'est plus la magie, les bulles, la folie d'un Perrier. Art, mort. Philosophie, morte. Politique, morte. Artisanat, moribon. L'industrie, s'extrapole. Commerce, rendu au faux juif, au fol arabe, à l'affreux chrétien, au boudhiste aliéné. France des responsables et des jamais coupables. A quel point vos cultures  ont bouffées nos dedans. France, je vous dégueule.  Il est urgent. Il est de devoir de vivre. Il est avenir si harmonie, équilibre, beauté, entreprise de l'enfant, genie explosif des emmurés, devient XXIème. Oui. Terre maltraitée. Oui. France humilié. Mais qui restent malgrés tout notre seule dynamite, France, achevée, de qui se relevera un monde, des mondes, à naître, à vivre, à colorier de doux yeux.  Elevage, peche, agriculture, artisanat, industrie, vous tous, poètes, France,  une et seule, indivisible, réunie, armée. Enfants de France, d'ailleurs, des bouts des mondes, c'est le temps de l'abat des chancres, la relève des vives, l'éclosion des lance rives. Vivance de nous, France. Lux des horizons multiples. Abatance des gueux et poudres de dégueulé. Vive Arnidoordio. Cela sonne, il urge en ce temps, c'est les ivres, j'en meurs de ne pas l'avoir compris plus tôt : que toujours vivent nos blés, nos familles, Arnidoordios, Amigo,  trabajar !". in Mimetis ou du capitalisme Sociétalisme marxo freudien décivilisant.

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    "Sortez un peu. Allez voler quelques couleurs sur les marchés. Réapprenez à voir, entendre, sentir, frôler. Goûtez, même. Déréglez vos âmes des carcans continus de l'ensemble laideur. Appréciez à quel point sont puantes vos îles et vos rides. Rotez un peu. Crachez, pêtez. Lâchez vous. Vous êtes mort".


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    Un groupe (d'individu) a été victime d'un salarié malhonnête de type AXA. Ils étaient dans une mauvaise passe, une certaine fragilité, à un moment de leurs vies où ils étaient plus facile pour le salarié malhonnête, de type AXA, de les abuser. Et l'on entend à la télévision, le directeur communication d'AXA « France », le bon messieurs Loyal de service, déclarait qu'AXA « France » porte plainte devant les tribunaux contre son salarié malhonnête. Eux, les abusés, le bas peuple, la bonne manne consomateuse de base, attendront, des années, sûrement avant d'avoir gain de cause. C'est écrit. A quel point la communication est tombée entre les mains de bas chiens. N'aurait-t-il pas été un minimum signe de respect, de savoir vivre et d'humanité de la part d'AXA « France » que d'indemniser en premier temps ces pauvres gens abusés, et de se retourner, ensuite, vers la Justice, si on peut appeler cela une Justice, je parlerais davantage de confrérie de bas porcs, mais je peut me tromper, se retourner vers la Justice, donc, pour remboursement des avances sur dédommagement qu'elle aurait effectué ? Mais non. Ces gens se foutent de leurs clients. Ces gens se foutent de l'humain. Ces gens se foutent de notre devenir commun, et pour cause. Directeurs Com, DRH, tous les mêmes, des chiens, au service de bas porcs. Combien dit t-on ? 1 million d'euros ? N'est ce pas, pour le groupe AXA, une goutte d'eau dans un océan sans fond et putride ? Et c'est là, que j'engage les hommes à la réflexion, à la méditation et à l'union. C'est, là, que j'en appelle à notre responsabilité, à notre sens du devoir de citoyen civil, moderne, moral ou éthique, comme vous voudrez, à notre droit d'être toujours des acteur moteur de civilisation, à ne pas sombrer dans le lâche et facile, et si plus valutesque pour eux, désintéressement de la cause d'autrui ou au questionnement sur la Cité. Ces pauvres gens abusés, par un salarié malhonnête, seulement (le salarié) d'une moralité, en somme, d'un échelon supérieur, communément admis et délivré en loi de marché, sur l'échelle Axa thermomètre du bon goût commercial, par un salarié rompu à la cause, aux manières, us, coutumes, culture d'entreprise de type AXA, ces pauvres gens abusés, dis je, c'est nous déjà. Nous, fragiles possible d'un moment de la vie, malades malheureux et pour longtemps, vieux obligés avec de plus en plus de chance, accidentés, il est possible aussi, enfants d'hier et de demain, en somme. Et cette très chère Madame de Parisot, sur ses jambes, elles sont laides, mais là n'est pas le problème, cette Parisot d'un syndicat patronal pas plus représentatif des patrons que la CGT ne l'est du monde ouvrier, mais qui fait baver par ses façades comme peut faire bander de nos jours la le Rmi, le fonctionnariat, ou le chômage à mi temps. J'en suis venu, ici, voyez, à mal construire ma phrase, c'est le signe des temps d'un pays, assurément. Mme Parisot, donc, s'empresse à nous vouloir flexible, accompagner toute vie de travail durant, vite, vite, reformons. Et si vous commenciez par reformer vos sales dedans, d'entre vos entrepricopinerie, Madame de Parisot ? Et si vous nettoyiez un peu vos couches, vos nids, vos portefeuilles, vos culs, tes queues, Madame Parisot ? Vous ai-je dis, déjà, à quel point vous me faites dégueuler ? Vous si moderne, jusqu'à en oublier commune racine humaine. Combien d'années de procédures devant les tribunaux pour ces gens inscrit dans un dossier, Mme Parisot, à vue de nez ? Il est laid votre nez, mais c'est déjà bien, c'est le votre. C'est la que j'engage les hommes. Il est un devoir de faire pression, aujourd'hui. Quelques soient nos philosophies, nos ailleurs, nos hiers, il est urgent de s'entendre sur un minimum de demain possible. Ou bien baisons tout de suite nos gosses. Et achevons les. Congélateur. Cela viendra pour tous, vous verrez, c'est écrit. Tout à un lien avec tout. Nous ne pourrons pas davantage avancer séparément, contradictoirement, plus longtemps. C'est du donnant donnant qu'il faut. Nous avons tous à y gagner. Remettre partout un minimum de morale, ou bien si vous préférez, d'humanité laïque, ou carrément athée. C'est au choix, et ce n'est pas cela le plus important. Faisons pression. Lançons, de nous même, une proposition de rachat de nos contrat AXA par une ou plusieurs compagnies d'assurance qui auront signés un accord de Label équitable et éthiques, bref, non pédophile. Et puis, rêvons, AXA, c'est la Suisse. Et la Suisse, c'est bien connu, c'est le pétrole. Nous pourrions freiner un peu les désirs d'avoir de notre Pébereau nationale. Pébereau, actionnaire privilégié d'un état de non droit généralisé et pédophilique. Pébereau, pédophile peut-être lui-même. Pédophile tout court. Oui. PD grave et sale, sûrement. Il est un devoir de le crier. Pébereau, plaie de la Nation, pétroleuse fascisto pédophile, donc, au large et profond cul emplis de comptes Suisse. Très certaine ami de 20 ans d'un quelconque autre sale con à baiser, exploser et achever, lui aussi, finalement.  Et cette Suisse, belle et douce. L'ultra démocratique, l'ultra participative, l'ultra propre, et à quel prix ? Notre mort lente à tous. Faudra bien balayer, un jour, devant nos portes. Faudra bien mettre un peu le feu au lac. Faudra bien comprendre que nous aurions à gagner millions d'emploi en Europe, et quand bien même nous accueillerions la Pologne, la Roumanie et même la Bulgarie extrême orientale, mais dans notre engagement à jouer, tous, qui que nous soyons, le jeu, un minimum, de l'économie, de la morale et de la cohésion de la Nation. Je veux dire par là que toutes ces ilettes, micro état et jusqu'à la belle Suisse n'ont rien à foutre dans la communauté de nos Nations. Elles ne sont rien d'autres, en l'état de non droit qu'elles organisent, qu'elles affichent, qu'elles ventent, par lesquelles elles attirent toujours davantage,  qu'un moteur de pédophilisation, de fascisme, et de destruction. Rien d'autre que cela. Une bombe à retardement. Amis Suisses, de tous pays, de toutes natures, vous ai-je dis, déjà, à quel point je vous dégueule ? Il est urgent.


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    Le magazine « Les français d'abord », cite souvent un journal, je crois que c'est « Aujourd'hui », mais je peux me tromper, pour son independance. N'y aurait t-il pas la possibilité qu'un journal comme « Aujourd'hui », ou bien un autre, ose ouvertement proposer un nombre x de colonnes à « Les français d'abord », et même national hebdo », c'est à dire au FN ? Voyez vous l'enjeu ? Ne voyez vous pas ce que nous aurions tous à gagner d'une entente cordiale dans l'attente et la construction d'une société plus libre et juste et solidaire ? Cela, je le propose, toujours, dans une logique de redynamisation, d'education populaire, d'elevation du niveau des âmes, des cœurs et des consciences, et je sens bien, là, que vous pouvez bondir, hurler, au fascisme, au nazzisme néo, latent, sous jacent, envahissant, rempant, que sais je encore. Mais comprenez, encore une fois, que tout à un lien avec tout et qu'il n'est qu'ensemble que nous parviendrons à resoudre les problèmes et les malheurs qui peuplent notre terre. Même si ses idées de haine, parfois, derangent, il faut les integrer, avec nos esperance de les resorber par un travail de terrain, par des retrouvailles sur le terrain, je veux dire, dans la somme de nos espois et de nos forces à resoudre ça et là, en prenant les problemes les uns après les autres, avec tous nos regards, nos savoir faire, melting pot d'un demain possible. Il est de notre devoir de ne pas laisser recuperer les êtres en colères, ces petites entreprises en perditions par un Sarkozy ou bien une Royal. Les politiques recupèrent là, aussi, sur ce terrain de l'extreme, et sur le flan gauche extreme de nos conviction n'en va t-il pas de même ? Tout à un lien avec tout. Il n'est qu'ensemble que nous refermerons les plaies. Il n'est que là le chemin possible. Ces gens dans haut, et de tout bord, ce sont trop compromis à leurs soifs insasiables de toujours plus jouir de nos identités, nos philosophies, nos travails, nos entreprises, nos associations, nos ecoles, nos vies, nos amours, nos pleurs et nos colères. C'est simplement une strategie economique où nous pouvons nous retrouver, pas la grande revolution, mais la lente resorption des chancres de cette nation, et ce qu'ils genèrent comme desespoir et laissez pour compte, ou pour con, ou pour incapable à penser, ou pour mort quand bien même ils sont toujours vivants. Tout à un lien avec tout. Il est de notre responsabilité citoyenne de le comprendre, enfin, de l'admettre et de le poser comme debut de solution. Prenez la vie politique française, d'un extreme à gauche. Et voyez. Il y a une distance entre l'extreme droite et l'extreme gauche. Nommons la X. Prenez la presse française. Il y a une distance, là aussi, entre les presses representatives d'unextreme, à l'autre. Et c'est même plus une distance en ligne droite, c'est un volume, une imbrication de lien, de connexion possible, si tenter que nous posions un temps les armes et que nous nous acheminions vers l'autre à vol d'oiseau. Et cette presse, ces philosophies, ces cultures, sont terrain théorifiable pour nous assurer un destin heureux. Mais laissons cela. Simplifions. D'un bout à l'autre de la presse, une distance, là, aussi. Nommons là Y. Et maintenant, reduisons Y (dynamique economique alternative en devenance), et c'est X qui se reduit, aussi. Et X se reduisant, s'harmonisant par nos efforts consentis, c'est les distancs entre les hommes et les communautés qui se reduisent, c'est la Republique qui se consolide, c'est la Democratie qui renait, c'est la croissance, enfin, pour notre pays, et une croissance plus humaine, libérée des carcans, des modes anciens, oui, une renaissance. C'est un tissu sociale qui naît, c'est une fracture enfin qui se reduit, c'est nos paupières qui se degonfflent après que nous ayons tant pleurés. Enfin dialogue.        Ne voyez vous pas là, enfin, une democratie participative naissante, et libérée des jougs que certains, déjà, posent, pour s'assurer une place dans nos histoires, et déjà, dans leurs desirs vouloir nous aliéner, là où ils parent de nous liberer. Se prendre en charge toujours, quand il est question de nos vies, de nos enfances, de nos construires. Libérer et laisser toujours libre la capacité réinitiée de nous parler et d'avancer ensemble. Leur laisser toujours quelques années de lumières à rattraper. Dans le même esprit. Je crois qu'un quotidien se casse la gueule en se moment. Peut-être ne paraît t-il plus, déjà, je ne sais. Il s'était abbaissé, en dernier temps, à faire œuvre de journa-réalité à phocratie crasseuse et bien juteuse en pognon à combler l'incapacité de ses journalistes au reflechir et au batir ensemble. France Soir, je crois, mais peut-être je me trompe. Et d'un autre coté, je recois en ma boite au lettre des bulletins et des magazines de mairie, de canton, departement, region, conseil en j'en sais plus rien tellement ces papiers pûs la combine etaller et relifter en arme de guerre. Tellement ils sont markétés pouvoir locaux -petit petit petit petit viens viens petit petit petit- en place. Il est des feuilles, aussi, libres ajoutées. Combien cela coûte tout cela. Combien cela nous coûte en impots ? Et pour ceux qui n'en paye pas, combien cela vous coûte que l'on ne vous ecoute pas ? Au nom de quoi devrions nous recevoir dans nos boites aux lettres, sans en avoir fait commandes, achats, demandes ne serait ce que soupirés, ces journaux qui ne se disent pas, et de notre Republique et de notre Democratie.  Un juriste pourrait-il me dire du reste si tout cela est constitutionnel ? Toutes ces choses sont-elles autre chose qu'une atteinte à la pluralité, autre chose qu'une injonction à conservativiser les pouvoirs en place, autre chose que des rouages à la scleroses de nos economies philosophiques ? Tout cela participe à la ghettoïsation de notre pays et de ses parties constituantes. Je parle du peuple souverain. Non plus Juge, mais même plus maitre de son corps et de son esprit pour juger. Il faudrait que juriste s'y penche. Je vois en ma ville. D'un bout à l'autre du mois, je bouffe du Malvy, matin, midi et soir. Et vous en Iles de France, c'est du Huchon que vous soupez jusqu'au cœur de vos nuitts, m'a t-on dit. La paperasse, ils aiment cela. L'education, ils s'en foutent. Ils ont beau nous la proposer à toutes les sauces, ils s'en foutent. L'avenir des enfants, ils s'en foutent. Seule est raison leurs carrières, la place qu'ils ont travailler de dedans nos dictionnaires de 50 ans plus tard. Le peuple, ils s'en foutent. Ou bien, ils sont desesperements cons. Et toutes ces parutions, que nous pourrions organiser ensemble, et que nous pourrions faire vivre et voler, bien au delà de nos frontières, nos errances, ou bien nos seuls ivre, elles ne sont que nos RMIC à nous tous, et qui que nous soyons. Ration minimale d'insertion collectice. Bref. Excusez moi. J'allais m'egarer encore. Je suis comme cela. J'aime les fleurs. J'aime les ivres. Et quand, j'ouvre ces bulletins... Un grand quotidien ou ex grand du soir, ne pourrait-il pas tisser liens directement avec partis politiques, et ouvrir à son journal des colones, pour tous les partis, et cela même aussi qui ne sont jamais representé et de tout bords. Voyez vous comment tout à un lien avec tout, et comment notre entente cordiale est le seule chemin possible pour que nos vies s'ameliorent, et quelque soient nos conditions et constitutions d'origines ? Voyez vous comment il faut s'entendre, acepter la Democratie radicale, echapper à nos seules visions, ou simplement, le plus souvent, œillères markétés prizunic, je veux parler de la pensée unique : vote ! Pour moi ! En place depuis.. ! Bref. Prenez la Dépèche du Midi. Il y a des sous division toulouse, auch, montauban, ect. N'est ce pas une base pour un redeploiement de la Democratie ? Et via les sites Internet de ces presses, n'y a t-il pas l'occasion de faire lien, de faire corps plus en racine, avec les associations qui serait repertoriés (avec label qualité ), les cultes de tout bord (avec label modérés), et tout cela avec le concours des Armées (comme je les definies) pour solidifier, redynamiser, ect. L'entreprise peut-être belle si son projet est, aussi, notre, tous, entier, corps des horizons, rassemblés, ouvrieux, malheureux aussi, enfin, participant quand bien même leurs pauvres galons, leurs pauvres habits, leurs pauvres figures, traces des années que nous avons perdues en ces guerres terribles, steriles et folles. Il est urgent.

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    On dit que le chat voit comme ci et que le chien voit comme ça, et que le poisson et la loutre voient encore differement. Mais y a-t-il possibilité que notre façon de voir, nous, humain, se soit modifier au cours des ages, et cela sous la contrainte du cheminement de notre environement architectural et d'economie commerçante, je veux dire se perdant et se desaccordant des racines et des valeurs fondamentales des equilibres primordiaux, et que cette modification de nos regards est entrainée une modification de notre matière propre à penser (je veux dire que nous courrons joyeux, sur un terrain d'anti creativité) qui induit une degenerescence de nos cervelles, de nos corps, de nos capacités à l'adaptation et à l'innovation, un encrage dans le conformisme conservateur de nos pretentions et arrogances, et qui conduit à une fin annoncée de notre civilisation ? Je pense à une chose. En Grèce, antique, un philosophe, et ils étaient nombreux, était à coup sûr un individu depositaire, en ce qui le constituer, d'une vision du monde unique, singulière, et qu'ils ne sont plu, aujourd'hui, que purs produits marketés ecole de ceci ou ce cela, ou bien eleves leches bottes à cervelles formatées de tel maître ou proprof, ou bien le bulbe tenu en laisse par tel parti, syndicat ou association, ou bien par d'illustres brillants mlarketés télévision-maison d'edition, ou bien, tout simplement, esclave d'eux  même, je veux dire irremediablement sans singularité de matière grise propre, sterile à la liberté d'espri et du reflechir, et, con, et, il faut bien dire que pour ces trois dernières qualités, ils le sont tous, d'egal et de solidaire. Nous sommes passé de la philosophie à l'anti liberté de se vanter de l'être, de se definir l'être. Voyez vous où je voulais en venir, il y a bien longtemps, quand je publiais mes premiers articles, et où j'en appelais à une philosophie de la rue, de terrain, à une politique des hommes, à une liberation de ces fers que nous nous auto infligerions par un sortir, des sortirs, de cette aliénation ? Il est urgent dans finir d'avec l'Ancien Regime.

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