Ian Lou, Prince 1er d'Europe, était devant un restaurant indien et il sentait les petites graines et les feuilles de toutes les couleurs. Bientôt il se tourna vers son peuple et parla ainsi :

« quiconque donnera un euros dans la rue ; offrira une cigarette dans la rue ; achetera des cigarettes de contre bande ; placera des capitaux ou bien basera une société sur un paradis fiscal ; pratiquera le marché noir ; vendra de la drogue ; achetera de la drogue ; frodera le fisc, la secu, la caf, l'assedic et l'état ; degradera les batiments et équipement publiques ; ne saura pas gerer son budget ; frequentera les sexes shop et les black room ; frequentera les sites internet de pornographie, de pedophilie, de secte, de trafic d'arme, de terrorisme, de trafic d'organe ou bien de personne, de casino ; frequentera les putes, les gigolos, les petits enfants et les petites filles par derrière ; vendra des marchandises volés ou non comforme aux reglementations en vigueur ou contre faconnées ; usurpera des personnes fragiles, handicapées, malades ou agées ; detournera des biens sociaux, volera dans les bibliothèques, les musées et les administrations ; procedera en tant qu'elu à des dessous de table ou des abus d'initiés ; produira de la merde pour la vendre et se faire de l'argent facile ; preferera l'insemination artificiel ou le recours de l'adoption à l'etrangers que sortir les malheureux de nos ghettos ; preferera la chirurgie esthetique à assumer sa sale gueulle ; mettra ses vieux, ses malades, ou ses animaux domestiques à l'hosto ou sur une aire d'autoroute en juillet pour partir penard en vacances ; partira à l'etranger se faire operer, greffer ou remodeller avec le corps des autres ; deversera des produits chimiques dans les champs, les forets, les egouts ou les ruisseaux ; lechera ou se fera lecher le cul par les journalistes ou bien son superrieur ; ne prendra pas le temps de trier ses ordures menagères pour leur retraitement ; fera trafics d'armes, de pieces detachés ou de divers outils ; ne s'inscrira pas sur les listes electorales ou n'ira pas voter ; procedera à faux temoignages ou induira ou achetera la justice ; usera de sa fonction à ses seules fins et interets personnaux ; publiera livre, disques, magazines, journaux, tract ou affiche de sous alimenté intellectuel ; entrainera autrui à des rapports non protegé ; ne tiendra pas propre ses chiotes, arrières sales d'atelier, de cuisine, ou sa cave ou son grenier ; deterriorera des monuments funéraires ; fera actes de violence envers personne par refus de sa difference de confession, de philosophie politiques, d'origine ethnique, de sexe, de sexualité, d'age, de club de foot, d'origine geographique ou socio professionnelle

 

celui là n'a en lui que le potentiel de faire de l'humanité un champs d'ordures, et est un pédophile en puissance. Il perdra toute aides de l'etat sous quelques formes que se soit jusqu'à cotisation de 5 annuités retraites. Qu'il soit francais ou resident etranger sur le territoire nationale. Ou bien francais resident à titre permanents ou provisoire à l'etrangers et ayant commis les crimes precités en territoires etrangers. Qu'il soit majeur ou mineur. Tenu responsable de ces geste ou non.

Les recedivistes seront executés sur place publique.

La justice est dite ».

Moi, je vois une chose. Il y a un bureau de tabac. Il y avait, presque. Il y a de moins en moins de marques de cigarettes à la vente. Et derrière la vitrine des étagères. Pleine d'objets autrefois. Aujourd'hui le patron y expose les quelques journaux et magazines qu'il vend encore. C'est bête. Cela me fait mal. C'est que j'ai vu travailler mon père. J'ai vecu dans une famille. Qu'un patron aussi petit qu'il soit, il a le droit de vivre de son metier. "Y a pas de sous métier", disait le poète. Les patrons ils ont oubliés tout ça. Tout ces gens là. On nomine. On passe en revue. On decore. On invite amis à diner. On fait reception. On a tué les petits patrons. Là où il y avait possibilité de mains d'oeuvre qui resterait toujours. On a voullu etre le plus fort. Le meilleur. Tout gerer. Faire des magasin-villes. Des chaines autoroutes. Comme des grands. Tout faire. On est les meilleur. On a raison. On connait le meilleur chemin. C'est nous qui avons raison. On est grands patrons. Na ! Na ! Na ! A vrai dire de la merde. De Bouygues à Dassault et tous les autres que j'ignore. Qui a voullu regner par conneries organisées se fera enculer. C'est promis. C'est juré. C'est craché. Vous êtes à vomir.

Moi, je vois une chose. Il y a une boutique à souvenirs. Des petits bonbons violettes. Des poupées. Des petits objets anciens. J'ai mal au coeur. Je pense à Limoges qui se meurt. La porcelaine et les fabriques qui ferment. Il faudrait pourtant peu de chose. Etre ensemble.

Moi j'ai rien compris à cette histoire de papillon qui bouge une aile d'un coté et qui provoque un tremblement de terre de l'autre. Et dans les espace temps que je traversais autrefois j'avais peur que mes éjaculations fassent exploser le monde.

Moi, dans mon village, j'ai vu une chose. On a fait passer cette femme de medecin pour une folasse. C'est vrai. Elle trainait devant les tribunaux une municipalité qui avait accordé un permis de construire. Elle aurait devant sa fermette de plein pied et au centre du village, un immeuble de 5 étages. Et bien voilà. Elle a gagné. Et le resultat est là. Le joli petit immeuble qu'a construit l'entreprise de Monsieur Daguobère. Et à deux pas l'architecture elevée par une ex municipalité dite sociale et pour un effet soit disant socialisant. Y a pas photo. Je veux dire que j'avais jeté mon appareil photo dans le fleuve.